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Bienvenue dans le Niari

Première escale dans les douze départements du Congo-Brazzaville : le Niari, situé dans le sud-ouest du pays avec Dolisie pour ville principale.
On peut s’y rendre au départ de Brazzaville ou Pointe-Noire, en avion via l’aéroport de Dolisie ou en voiture par les routes nationales. Le Niari est également desservi par le chemin de fer Congo-Océan.
On y trouve de l’or dans la ville de Mbinda, près de la frontière gabonaise ou encore dans le petit village de Makoyo et, selon les autorités locales, on peut trouver des diamants du côté du Massif du Chaillu !

Quels sont les attraits du Niari ?

Le Niari, côté voyage : la rivière bleue

Le Niari est plutôt bien doté en sites touristiques, qu’il s’agisse de réserves de faune, réserves de chasse, cascades ou grottes, sans compter les nombreux plateaux, collines, savanes.

Toutefois, la rivière bleue située dans la réserve de faune de Tsoulou, demeure l’un des plus beaux sites du département.

Par ses couleurs émeraude et saphir, son cadre verdoyant, son emplacement le long du fleuve Kouilou-Niari, cet endroit enchanteur se prête aux activités de pique-nique et baignades en famille ou entre amis.

Le Niari, côté gastronomie : les crevettes missala


Les plaisirs de la table sont certainement la plus douce façon de faire connaître et apprécier une destination. En ce qui concerne le Niari, les crevettes missala jouent ce rôle avec brio !

Ce sont des gambas d’eau douce, pêchées dans le fleuve Niari et dans ses affluents, au goût atypique et différent des crevette-fruit de mer.

Un simple aller-retour à la poêle avec un filet d’huile, quelques condiments, une pincée de sel ; et vous vous souviendrez longtemps du Niari. 

Le Niari, côté culture : l’arbre de De Brazza


À une dizaine de kilomètres de Dolisie, isolé au milieu de quelques manguiers et palmiers éparses, se dresse « l’arbre de De Brazza », un célèbre baobab qui figure dans les bonnes pages des guides touristiques sur le Niari.

L’histoire raconte que l’explorateur Pierre Savorgnan De Brazza ainsi que les membres de son expédition firent une halte à cet endroit précis en 1887.

Autant dire que cet arbre a vu passer beaucoup de monde, c’est du moins ce qu’on peut voir sur son tronc, parsemé de multiples gravures laissées par les visiteurs du site.